La lutte pour le respect des droits fondamentaux des femmes aurait dû mener nos diplomates occidentaux, et particulièrement nos diplomates européens, un peu trop pressés de suivre l'allié américain qui fait parfois preuve d'aveuglement idéologique, a adopter une politique différente concernant les "révoltes du Printemps Arabes".
Il est dommage qu'ils aient aidé indirectement et par aveuglement les djihadistes en aidant au renversement de Chefs d'État certes autoritaires mais qui assuraient néanmoins leurs droits fondamentaux aux femmes et le respectaient des minorités.
Même s'il est vrai que cette menace servait sans doute de prétexte pour réprimer les opposants, les conséquences de ces "Printemps" nous rappelle qu'entre deux maux il convient de choisir le moindre.